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Qui avait dit que l’autre nom de Dieu, c’est le temps ?
Pour notre intrépide et téméraire Refondateur, celui-là même consacré « Meilleur Ministre de la Justice de l’Afrique « , prix décerné à juste titre au Maroc et ceci au regard des limites de l’audace poussées très loin de tout entendement pour donner un contenu au slogan devenu historique lancé le 05 septembre 2021, en le : « JUSTICE-BOUSSOLE qui doit orienter les actions de chacun « .
Aujourd’hui, abandonné quasiment à lui-même, vue la torpeur et les pratiques d’antan qui refont surface, le peuple regrette amèrement l’absence de son fils cheri. Des actions qui enlaidissent à présent l’image autrefois reverdie et relookée par l’enfant terrible, dont le seul regard transperce le cœur des délinquants en tout genre !
Ô mon Dieu! que dire de la grande amertume vécue par son frère aimé de Président, mon General de Corps d’Armee Mamadi DOUMBOUYA? qui on le sent, vit comme un incomplet ou chaînon manquant dans l’efficacité de ses profondes réformes en cours et sérieusement confrontées depuis le départ précipité, eu égard aux nombreux chantiers entamés, par un homme de conviction et suffisamment imbu de la vision de celui qui est venu au petit matin du 05 septembre 2021, en rédempteur, pour donner au peuple martyr de Guinée, la chance de renouer avec le cours normal de son destin pour relever les divers et complexes défis qui l’interpellent.
Ne pas reconnaître le ricochet de ses actions entreprises visant à rétablir le peuple dans ses droits bafoués par des sclerats ayant fait des avoirs nationaux une denrée prisée et bonne à se mettre eux seuls seulement sous la dent contre lui (Charles) est de refuser la vérité. Le temps du démantèlement des réseaux mafieux a connu une brusque et inattendue interruption avec le départ précipité de celui que j’appelle le roi de la droiture : Son Excellence Alhousseny Charles Wright !
Ce qui me réjouis sincèrement pour Alphonse Charles Wright, même ses plus grands détracteurs reconnaissent qu’il a été un très grand ministre de la justice.
Le désormais roi Charles Wright est un grand chevalier de la théorie de l’effort et de la méritocratie.
Après une grande mafia orchestrée par les cartels de l’économie et soutenue par certains de ses proches qui ont pourtant bénéficié de ses largesses illimitées de l’ex-ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Allah l’a rétabli.
Très souvent dans nos échanges privés, le roi Charles Wright me dit ceci : « Toujours penser de manière positive d’autrui ». Optimiste, il l’est de nature comme nous le recommande Allah (swt) : avoir une image positive des autres et rechercher leurs qualités sont des prescriptions divines. Si une information nous est rapportée sur quelqu’un, il faut toujours la vérifier et penser du bien de la personne. Ne pas se focaliser sur ses défauts est une vertu dont les doués d’intelligence seuls peuvent se targuer.
Il me demande également d’être indulgent. Charles Wright étant un sachant, il aurait dû tomber sur ce passage dans son Coran transcrit. Le Coran transcrit est devenu pour lui comme un roman. Effectivement, ce conseil n’est pas fortuit.
Allah demande aux Musulmans d’être indulgents envers leurs frères et sœurs.
Allah (swt) rappelle aux croyants qu’ils doivent faire preuve de pardon, de patience et de solidarité entre eux. Lorsque l’un d’entre eux est touché dans son honneur, son frère et/ou sa sœur en Islam doivent le défendre et partager sa douleur comme me si c’était lui qui en est atteint. S’il n’y a pas cela entre les croyants, c’est la foi qu’il devra revoir.
Alphonse Charles Wright vit une seconde vie de son jeune âge. Son dynamisme, son aura, sa constance et sa consistance ont été au rendez-vous du celebressime magistrat.
Il reçoit ses quelques peu d’amis qui lui sont restés fidèles. Malgré sa traversée du désert, ce juge de carrière qui n’a pas perdu son humanité continue à enseigner le droit et la bonne pratique.
Maf Dramé