Insécurité : plus de 400 zones criminogènes identifiées dans le Grand Conakry

À la suite de la réquisition du procureur général de la Cour d’appel de Conakry, Fallou Doumbouya, les forces de police et de gendarmerie ont entamé le démantèlement progressif des zones criminelles dans le Grand Conakry.

L’opération a débuté par les débarcadères situés dans le centre-ville de Kaloum, où plusieurs taudis ont été démolis. Ces lieux, considérés comme des repaires de bandits, étaient pointés du doigt pour leur rôle dans la criminalité organisée, marquée par la perpétration de divers crimes et délits dans plusieurs quartiers du Grand Conakry.

“A date, 440 zones criminogènes dans les 13 communes de Conakry”, a souligné le procureur général Fallou Doumbouya.

L’opération de démantèlement, explique le magistrat, s’inscrit dans le cadre des dispositions de l’article 41 du Code de procédure pénale, qui confie au Parquet général et aux parquets d’instance la mission de prévention et de répression.

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