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Le gouvernement guinéen veut mettre fin à la banalisation et la récurrence des fuites d’informations sensibles de l’Etat.
Selon le gouvernement cette pratique qui cause des dommages au bon fonctionnement de l’administration, trouble l’ordre public.
Pour y mettre un terme, le ministre Secrétaire général du gouvernement prévient que des poursuites judiciaires contre les auteurs ne sont pas à exclure. Car cette banalisation cause des préjudices au bon fonctionnement de l’administration publique.
“Nous voulons mettre fin à cette banalisation qui cause des préjudices au bon fonctionnement de l’administration publique, pour exercer le pouvoir public en toute paisibilité”, a déclaré Benoît Kamano lundi soir à la télévision nationale.
Les communications officielles des départements ministériels et autres structures de l’Etat doivent se faire uniquement à travers des canaux officiels, estime le ministre Secrétaire général du gouvernement.
Au-delà du trouble à l’ordre public que cela entraîne, ce phénomène entame aussi le processus de prise de décision en cours avant même que la décision ne soit prise, regrette Benoît Kamano.
D’où la détermination des autorités de mettre fin à ces pratiques. Mais avant, le gouvernement privilégie d’abord la sensibilisation.
“Le code pénal permet de poursuivre tout contrevenant pour avoir troublé l’ordre public ou porté atteinte aux droits des personnes. Nous comptons sensibiliser, mais en cas d’atteinte à l’ordre public, nous nous réservons le droit de se constituer partie civile et de poursuivre”, prévient M. Kamano.
L’article Fuite d’informations sensibles de l’Etat : le gouvernement brandit la menace est apparu en premier sur Guinee360 - Actualité en Guinée, Politique, Économie, Sport.