Etats généraux Agriculture-Elevage: Gal Amara présent aux côtés de Djiba Diakité

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Tout est fin prêt au chapiteau by Issa au palais du peuple pour le démarrage des activités. C’est de ce côté que les états généraux de l’agriculture et de l’élevage vont se tenir les 3, 4 et 5 juillet 2024. C’est le premier ministre, chef du gouvernement qui préside la cérémonie inaugurale des activités. L’objectif de cet événement est de rassembler les principaux acteurs du secteur agropastoral pour discuter des défis et des opportunités, et élaborer des stratégies durables pour le développement du secteur, lit-on dans le dossier de presse.

On remarque surtout la présence du Général Amara Camara, Ministre Secrétaire Général de la présidence et de Djiba Diakité, Ministre Directeur de Cabinet de la présidence de la République.

« Comment traduire le potentiel agropastoral de la Guinée en levier pour l’autosuffisance, la sécurité alimentaire et nutritionnelle ? », c’est sous ce thème que les activités vont se dérouler. Selon les autorités, la Guinée possède un potentiel agropastoral considérable grâce à sa diversité agro écologique, à des précipitations annuelles satisfaisantes et à 13,7 millions d’hectares de terres arables, représentant 56 % du territoire national.

Elles estiment que le secteur agricole est crucial pour la Guinée, car, il occupe 64,41 % de la population rurale et contribue à 25 % du PIB national selon les chiffres datant de 2020. Cependant, avouent les mêmes autorités, malgré les efforts déployés à travers diverses politiques et programmes de développement, les résultats attendus en termes de sécurité alimentaire et de réduction de la pauvreté n’ont pas encore été atteints. Environ 45 % de la population rurale vit encore dans la pauvreté, contre 22 % en milieu urbain.

Les états généraux de l’agriculture et de l’élevage s’ouvrent ce mercredi 03 juillet dans un contexte où de nombreux défis majeurs se dressent devant le ministère de l’agriculture et de l’élevage. Ces défis majeurs incluent la faible mécanisation, l’utilisation limitée d’intrants agricoles modernes, et des infrastructures de production et de commercialisation insuffisantes. Quant au secteur de l’élevage, il fait face à des contraintes sanitaires et une offre fourragère limitée, avec des investissements publics très faibles.

Plusieurs autorités sont au rendez-vous. Il s’agit entre autres, du ministre secrétaire général à la présidence, du ministre directeur de cabinet à la présidence, du président du CNT, du premier ministre, du ministre de l’agriculture et du président de la Chambre Nationale d’Agriculture

Sékou Diatéya

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