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L’évaluation finale des ministres qui a démarré ce jeudi 20 novembre à la primature va se poursuivre jusqu’au 25. En attendant, l’initiative continue de susciter des réactions notamment au sein de la société civile. Au Conseil National des Organisations de la Société Civile Guinéenne (CNOSC-G) par exemple, on pense que c’est un exercice démocratique et qui résulte des principes de bonne gouvernance.
« C’est un exercice qui permet au Premier ministre et au chef de l’État de comprendre l’efficacité ou la non-efficacité de ceux qui gouvernent le pays. Mais ce qui est le plus important, c’est que l’évaluation doit permettre au premier ministre de sortir un rapport lui permettant de renforcer les ministres en capacité ou de prendre des décisions contre ceux qui ne sont pas en mesure de satisfaire les besoins des populations », a réagi le président du CNOSC-G.
Gabriel Haba a un autre regard sur cette initiative. Il pense qu’au-delà de l’évaluation interne, le premier ministre doit s’intéresser à l’avis des gouvernés sur l’action publique.
« Est-ce que les citoyens pour lesquels le gouvernement agit, à travers les gouvernants, sont satisfaits de l’action publique ? Le PM doit être en capacité d’évaluer à travers le regard citoyen. C’est ce qui est extrêmement important. Si vous agissez pour des personnes, quels que soient les résultats internes, mais si celles-ci ne sont pas satisfaites des résultats de votre gouvernance, je pense que vous passez à côté », a ajouté l’activiste.
Sekou Diateya
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