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C’est une rencontre cruciale pour le gouvernement, désormais dos au mur après une crise qui a paralysé le secteur de l’éducation et donné lieu à des scènes de violence.
Suite à la suspension du mot d’ordre de grève mercredi pour privilégier le dialogue, les discussions ont repris ce jeudi dans la salle de réunion de la fonction publique sous l’égide du président du conseil national du dialogue social.
Les négociations s’articulent autour du mémorandum de l’intersyndicale de l’éducation. Les points de crispation incluent : La signature du statut particulier révisé de l’éducation ; L’intégration des enseignants contractuels ; Le déblocage des salaires.
Signe que l’exécutif prend l’affaire très au sérieux, trois ministres sectoriels marquent de leur présence cette session. Alpha Bacar Barry de l’enseignement supérieur, Aminata Kaba de l’enseignement technique et Jean Paul Cedy du MEPUA siègent aux côtés de Faya François Bourouno, ministre de la Fonction publique.
Tous sont réunis dans la salle de conférence du ministère de la Fonction publique afin de trouver une issue à cette crise qui secoue le pays, à un moment particulièrement critique marqué par la campagne électorale.
À l’exception du SNAESURS qui brille par son absence pour le moment, l’intersyndicale de l’éducation est fortement représentée. Alpha Gassim Barry de la FSPE et Michel Pépé Balamou (SNE), à l’origine du mouvement, sont présents. Ils sont accompagnés par Aboubacar Soumah et Kadiatou Bah, respectivement secrétaire général et secrétaire générale adjointe du SLECG.
Le gouvernement se trouve désormais dans l’obligation de présenter des arguments solides pour convaincre les syndicats, ou, à défaut, chercher à satisfaire l’essentiel de leurs revendications pour garantir la paix sociale.
À suivre !
Alhassane Fofana
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il y a 2 heures
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