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Quelques semaines après l’annonce, liée à l’organisation des élections au mois de décembre, faite par le premier ministre Bah Oury à Abidjan, le porte-parole de la présidence a pour sa part dit ne pas être en mesure de donner une date.
Ce qui fait donc planer le doute sur la concrétisation de l’annonce faite par le chef du gouvernement. Puisque qu’il y a bien une contradiction entre les propos des deux hautes autorités.
« Je ne suis pas en mesure de vous donner une date concernant les élections. On a un engagement ferme qui a fait l’objet d’un décret. Le référendum, on va le tenir le 21 septembre de cette année. Quand on a une constitution, sur la base de la constitution, on va organiser des élections. Je l’ai dit tantôt sans détails, que toutes les institutions issues de la nouvelle constitution, vont être mises en place. Ce qui devrait être fait par élection va se faire. (…). Pour revenir sur une prise de parole du premier ministre, chef du gouvernement qui a dit que cette année, on va coupler telle élection et telle autre. En tant que porte-parole de la présidence, je ne suis pas en mesure de vous donner une date par rapport à la tenue des élections. Mais nous allons faire de cette année conformément à la déclaration du chef de l’Etat, une année électorale. Et la première des choses, c’est d’avoir une constitution. Quand nous aurons une constitution, on va faire des élections », a-t-il laissé entendre.
Au lendemain de l’annonce du PM Bah Oury, l’Union des Forces Démocratiques de Guinée, par la voix du coordinateur de la cellule de communication du parti avait dénoncé « une stratégie de communication destinée à rassurer les partenaires et investisseurs étrangers ».
DOURA