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Le silence des dirigeants de la Communauté Economique des États de l’Afrique de l’Ouest, face à la disparition forcée de Foniké et de Bilo Bah, est décriée par le cabinet d’avocats français, bourdon et associés.
Dans une lettre en date du 13 septembre 2024, les avocats des activistes et de leurs épouses ont déploré l’inaction de la CEDEAO, avant d’inviter les responsables de l’institution sous-régionale à œuvrer pour la libération immédiate des deux activistes.
Ci-dessous, copie dudit courrier :
">http://Courrier CEDEAO 13.09.2024