Les cinq travailleurs humanitaires jugés pour avoir facilité l'entrée illégale de migrants ont été condamnés à des peines plus légères que prévu. Certains ont même été acquittés, selon des sources judiciaires. En parallèle, de nombreuses femmes, qu'elles soient députées, membres d'associations, présidentes de partis ou avocates, ont été jugées et condamnées pour avoir critiqué le régime de Kais Saied. Parmi elles, Sonia Dahmani, avocate, est détenue depuis plus d'un an. Une audience de l'un de ses procès est prévue ce vendredi. Sa sœur, Ramla, se bat activement pour obtenir sa libération.