L’Université Kofi Annan célèbre son 25ème anniversaire au service de l’enseignement 

Mai 1999 – mai 2024. Il y a 25 ans, le Dr Ousmane Kaba créait l’Université Kofi Annan de Guinée. Et pour commémorer ces années au service de l’enseignement, de la recherche et de l’innovation, les responsables de cette plus grande université privée du pays ont organisé une grandiose cérémonie le samedis 25 mai 2024, à Conakry.

La cérémonie, marquée par des prestations artistiques, a connu la participation de plusieurs invités de marque dont les représentants des missions diplomatiques et consulaires accréditées en Guinée, les cadres de l’administration publique et privée, les membres du Patronat, ainsi que les promoteurs du système d’enseignement guinéen.

Dans son discours de bienvenue, le Recteur de l’UKAG s’est félicité du fait que la réputation de l’Université Kofi Annan de Guinée dépasse aujourd’hui les bornes frontières de la Guinée.

“Que ce soit en France, aux États-Unis, au Canada ou encore dans la sous-région, les étudiants de l’Université Kofi Annan font la fierté de la Guinée. Nombreux ont poursuivi leurs études jusqu’au troisième cycle pour être nantis de diplômes de Médecine, Pharmacie. Nombreux sont devenus des hommes politiques. Nombreux sont devenus de grands entrepreneurs, dirigeants de sociétés. Nombreux sont ceux qui travaillent dans les institutions internationales, dans les entreprises privées, dans l’administration publique”, a dressé le Pr Tayeb Laskri.

Pour sa part, le fondateur de l’Université Kofi Annan de Guinée a tout d’abord rappelé le contexte de création de cette université. Poursuivant, le Dr Ousmane Kaba a exprimé sa reconnaissance aux parents qui ont pris le risque de faire confiance en ce temple du savoir en y inscrivant leurs enfants au tout début de son existence.

“Cette année 2024 est une année exceptionnelle, parce qu’on a battu tous les records. Nous avons 3200 étudiants inscrits uniquement en 1ère année et pour la première fois. Il est trois fois plus élevé que la moyenne des boursiers de l’État qui étaient de 1000 étudiants, alors que le programme des bourses s’est arrêté en 2017. Ça prouve qu’avec la recherche effrénée de la qualité, une bonne université peut se passer de l’État”, a-t-il soutenu.

De son côté, le Secrétaire général du  ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation a, au nom de son ministre, adressé ses chaleureuses salutations et félicitations au fondateur ainsi qu’aux membres de l’encadrement de l’UKAG pour les efforts louables consentis durant ces vingt cinq années dans le cadre de l’accès aux études supérieures, de la formation universitaire et post universitaire et de la qualification de l’enseignement supérieur de la Guinée.

M. Facinet Conté a saisi l’instant  pour saluer le dynamisme du Dr Ousmane Kaba pour l’efficacité et sa volonté de servir sa chère patrie.

L’Université Kofi Annan de Guinée a été créée le 19 mai 1999. Depuis cette date, elle a connu plusieurs mutations pédagogiques allant d’une faculté à cinq facultés, trois écoles et un institut universitaire professionnel en 2024.

Ce temple du savoir, durant plus de deux décennies, a formé des milliers jeunes guinéens et étrangers dans plusieurs domaines, contribuant ainsi au développement socio-économique aussi bien de la Guinée que d’autres pays de la sous-région.

L’Université Kofi Annan de Guinée se positionne comme l’un des principaux piliers de l’éducation académique dans le pays et reste le plus ancien établissement privé d’enseignement supérieur.

Erigée sur une superficie d’un hectare et demi à Nongo, dans la commune de Ratoma, grâce au dynamisme et au souci de son fondateur à couvrir les besoins dans les différentes sciences, elle est devenue la plus grande université pluridisciplinaire de Guinée.

L’UKAG se distingue par son engagement envers une éducation professionnelle de qualité, offrant une vaste gamme de programmes de licences, de masters, ainsi que des programmes en ingénierie, en sciences médicales et en sciences de la santé. Ce qui lui confère, son statut unique d’université privée dont de nombreux programmes sont accrédités par l’Autorité Nationale d’Assurance Qualité de Guinée (ANAO-GN) et le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), Actuellement, cinquante programmes y sont habilités, dont vingt deux accrédités par l’ANAD.

L’UKAG est organisée en neuf composantes, dont cinq facultés, trois écoles et un institut universitaire et professionnel. Parmi ces composantes figurent la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques, la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion, la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, la Faculté des Sciences et la Faculté des Sciences Médicales, comprenant la médecine, la pharmacie et l’odontologie.

En plus des facultés, l’UKAG abrite des écoles telles que l’École Polytechnique des ingénieurs, l’École Supérieure des Sciences et Techniques de la Santé et l’École Advanced School of Business and Arts, ainsi qu’un Institut Universitaire Professionnel,

L’UKAG propose également seize masters pluridisciplinaires de qualité, couvrant des domaines le droit, les sciences politiques, les sciences économiques et de gestion, les sciences sociales, l’informatique, la santé publique et le management.

Outre un éventail académique diversifié, l’UKAG dispose d’infrastructures modernes pour soutenir l’apprentissage et la recherche, notamment une maison d’entrepreneuriat, une bibliothèque physique et numérique d’une grande capacité, des dortoirs universitaires, des laboratoires médicaux et photovoltaïques, un centre de certification.

Elle offre également à travers son département d’Études stages et d’insertion Socioprofessionnelle, un sous aux Étudiants diplômés en fin de cycle.

En tant qu’institution académique modèle, l’UKAG tient à garantir une politique de formation qui repose sur son engagement manifeste à fournir une éducation de qualité, à promouvoir la recherche et l’innovation, et à préparer ses étudiants à devenir de futurs leaders dont la contribution permettra le rayonnement de Guinée et au-delà de nos frontières.