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Dans l’affaire dite ministère public et l’État guinéen contre Amadou Damaro Camara et compagnie arrivée à terme ce lundi à la CRIEF, Michel Kamano a écopé de la plus lourde peine.
L’ex premier questeur de l’Assemblée nationale a été condamné à cinq ans de prison et au paiement d’une amende de 10 millions de francs guinéens après avoir été déclaré coupable des faits de détournement de deniers publics, de corruption, d’enrichissement illicite et blanchiment de capitaux.
Puisqu’il est sorti du pays il y a longtemps pour des raisons de santé, la Cour de Répression des Infractions Économiques et Financières a émis un mandat d’arrêt contre lui.
Comme si cela ne suffisait pas, la Cour a ordonné la confiscation de ses biens objets d’ordonnance de saisie pénale au profit de l’État. Il s’agit principalement de 15 parcelles à Dabompa, d’une plantation de 16 hectares à Kissidougou, d’une plantation de 50 hectares à Mambia dans la préfecture de Kindia et de 2 parcelles à Maferinya dans la préfecture de Forécariah.
Sékou Diatéya