CRIEF : L’État exige 100 milliards GNF pour la mise en liberté d’Ibrahima Kourouma

il y a 5 heures 17
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Le procès de l’ancien ministre de l’Enseignement pré universitaire, Ibrahima Kourouma, s’est poursuivi ce mercredi 23 janvier 2025 devant la Cour de répression des infractions économiques et financières (CRIEF). Les avocats du prévenu ont sollicité la mise en liberté de leur client, mais la partie civile a posé une condition à cette demande.

Selon les conseils d’Ibrahima Kourouma, son mandat de dépôt n’ayant jamais été renouvelé, sa mise en liberté serait conforme au respect des droits du prévenu. Cependant, le juge a décidé de rejeter la demande de mise en liberté provisoire. En réponse, les avocats ont dénoncé ce rejet, qualifiant la décision de “règlement de comptes” et d’”injustice”.

Avant de demander le renvoi de l’affaire pour avoir le temps de compulser davantage les éléments du dossier et pouvoir apporter la contradiction, la partie civile, représentant l’État, a réclamé la somme de 100 milliards de GNF pour permettre la mise en liberté d’Ibrahima Kourouma.

L’affaire a été renvoyée au 29 janvier 2025 pour la suite des débats.

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