Sept films argentins sont projetés cette année à Cannes, dans un contexte d’inquiétude généralisée quant à l’avenir de ce cinéma parmi les plus prolifiques du continent sud-américain. Depuis son arrivée au pouvoir en décembre dernier, le président Javier Milei a déclaré la guerre à la culture et à l’industrie du septième art, en supprimant toutes les demandes d’aides publiques. Sur la Croisette, cinéastes et producteurs argentins tentent de faire entendre leur voix.