« À l’exception sérieuse de patriotes de bonne foi tels que Abdourahmane Sano ou Billo Bah, les autres sont des vassaux de l’UFDG, luttant pour leurs intérêts personnels, tout en manipulant l’opinion publique. Financés, entretenus et instrumentalisés par l’UFDG, ces activistes sans foi ni loi participent à sa stratégie de conquête du pouvoir par tous les moyens »
« (…) La corruption de l’arène publique se dévoile aussi dans l’attitude dévoyée de certains activistes qui souillent l’essence altruiste du militantisme. Pour ces individus, l’engagement public est un tremplin pour l’ascension personnelle, plutôt qu’un sacerdoce voué à la collectivité, un engagement sacré pour le bien commun. Usant de diverses manœuvres et stratégies pour réaliser leurs objectifs, ils ne reculent devant rien, allant jusqu’à marchander la vie et l’honneur des citoyens. Leurs arsenaux de prédilection sont la manipulation, le mensonge, la diffamation, la désinformation et l’instrumentalisation, qu’ils manient avec une étonnante désinvolture.
Cette description correspond parfaitement à l’attitude de certains activistes politiques qui se revêtent de l’étiquette de la société civile, tels les responsables du mouvement FNDC. À l’exception sérieuse de patriotes de bonne foi tels que Abdourahmane Sano ou Billo Bah, les autres sont des vassaux de l’UFDG, luttant pour leurs intérêts personnels, tout en manipulant l’opinion publique.