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La défaite du Syli national en Tanzanie lors de la dernière journée des éliminatoires de la CAN 2025, va longtemps hanter les Guinéens. Car elle consacre l’élimination du onze national à cette biennale du football. Et pourtant, tous savaient, joueurs, encadreurs et dirigeants, que cette dernière sortie était le rendez-vous à ne pas manquer, le RDV où il fallait se saigner pour ne pas perdre, à défaut de gagner. Mais hélas ! comme on le sait, l’équipe nationale qui n’est pas capable de relever les défis de ce type a logiquement chuté pour rester en rade.
Forcément, les responsabilités sont situées. Au-delà des joueurs dont on reproche à certains des comportements antisportifs écœurants, de l’encadrement technique qui a fait des choix discutables, les dirigeants du football, eux, par contre subissent la colère de l’opinion. Ils sont accablés de toutes parts. Bouba Sampil et son équipe, plutôt Bouba lui-même, qui agit en loup solitaire, l’accuse-t-on, passe pour le responsable de cette déchéance. La mise en place d’un comité directoire à plusieurs responsables, était en soi les signes annonciateurs d’une fin malheureuse. Cette action inédite, décriée par toutes les personnes non complaisantes, a semé les germes de la défaite.
Bizarrement, à l’époque, le sommet du football guinéen, auteur de la décision, s’en était vanté pour avoir trouvé l’idée ingénieuse. Quel mufle !
Les joueurs de l’équipe dans différents posts sur leurs réseaux sociaux, comme une sorte de faux-fuyants, enfoncent le clou. Ils dénoncent la gestion de l’équipe et le cadre de travail. Des accusations qui visent à priori le boss du football guinéen qui apparait particulièrement fragile, parce qu’au cœur d’autres agitations concernant sa gestion.
A suivre !
Mognouma