L'Ukraine peut-elle frapper le sol russe avec les armes fournies par ses alliés ? C'est la question à laquelle vont tenter de répondre, jeudi et vendredi, les membres de l'Otan réunis à Prague. La France, notamment, y est favorable, tandis que les États-Unis se montrent beaucoup plus réticents. La fourniture de nouvelles armes et de munitions sera également au programme.