La Cour constitutionnelle de Corée du Sud a entamé mardi l’examen de la destitution du président Yoon Suk Yeol. Cette procédure déterminera s’il sera définitivement démis de ses fonctions pour sa tentative infructueuse d’imposer la loi martiale ou s’il retrouvera son poste. Lors de cette première audience, qui n’a duré que quelques minutes, le président n’était pas présent, son avocat invoquant des "raisons de sécurité". Les précisions de Yena Lee, correspondante de France 24 à Pékin.