Tandis que l'extrême droite progresse en Europe, la Hongrie de Viktor Orban, populiste et proche du Kremlin, doit assumer la présidence de l'UE à partir du 1er juillet. Une perspective qui inquiète à Bruxelles tant les sujets de contentieux s'accumulent avec Budapest. Viktor Orban sera-t-il fidèle à sa réputation de trublion des Vingt-sept lors de ces six prochains mois ou jouera-t-il au contraire le rôle du bon élève ? Éléments de réponse.