PLACEZ VOS PRODUITS ICI
CONTACTEZ [email protected]

Au lendemain du 5 septembre 2021, conformément aux instructions et à la vision du Président Mamadi DOUMBOUYA, des réformes budgétaires et économiques majeures ont été engagées en vue de l’amélioration des conditions de vie des populations guinéennes.
Ces réformes ont porté notamment sur la sincérité et la transparence budgétaires, la mobilisation et la sécurisation des ressources internes à travers la digitalisation, l’amélioration de la qualité de la dépense publique ainsi que la maîtrise de l’endettement.
Grâce à une politique monétaire efficace, l’inflation a été maîtrisée et la croissance économique s’est renforcée, soutenue par la volonté affirmée du Président DOUMBOUYA et sa politique volontariste d’investir massivement dans les infrastructures économiques et sociales.
Une diplomatie économique offensive a été mise en place au sein du Pool économique, favorisant le retour rapide des bailleurs de fonds et des investisseurs étrangers.
Le pays se repositionne et devient plus attractif. Le SMIG a été revalorisé, tout comme les salaires, la solde ainsi que les pensions civiles et militaires. Grâce à ces réformes, la Guinée est sortie de la catégorie des pays pauvres selon la classification du Groupe de la Banque mondiale pour accéder au statut de pays à revenu intermédiaire. L’économie est demeurée stable avec des agrégats macroéconomiques au vert, ce qui a permis de constituer un matelas de sécurité indispensable avant le choc de l’explosion du dépôt d’hydrocarbures de Kaloum en décembre 2023.
Les dépenses exceptionnelles liées à cette crise majeure ont été maîtrisées grâce à la méthode, à la confiance, à l’ordre et à la discipline instaurés autour du Chef de l’État, ainsi qu’à la résilience des populations. Une mobilisation internationale d’urgence a ensuite été engagée afin d’atténuer les conséquences de ce choc et maintenir le cap de l’émergence.
Ces rappels de contexte sont nécessaires en cette période électorale, longtemps redoutée en raison des risques d’éruption de violences et de dérives potentielles. Aujourd’hui, elle constitue un moment privilégié d’expression vivante de la démocratie et représente à ce titre, un enjeu crucial pour la paix, la stabilité politique, le développement et la cohésion sociale.
Sans être exhaustif, l’ancien Ministre de l’Economie et des Finances du pays témoigne ici des résultats exceptionnels obtenus en matière de mobilisation effective des ressources depuis le 5 septembre 2021, dans un contexte de crises multiformes pour financer les infrastructures économiques et sociales : les voiries urbaines, les routes nationales, les échangeurs et ponts de désenclavement, les écoles, les infrastructures de jeunesses et de loisirs, l’énergie, l’eau et l’assainissement, l’éducation, l’innovation et la technologie, le tissus socio-culturel, les hôpitaux régionaux quand on connait les couts des évacuations sanitaires vers Tunis, Casablanca, Istanbul, Paris, les centres d’hémodialyse dont on parle peu mais qui soulagent aujourd’hui, niche fiscale et exonération douanière sur les denrées de première nécessité, les intrants et équipements agricoles, la défense et la sécurité dans un monde d’incertitude, la cité administrative de Koloma, l’aéroport Ahmed Sékou Touré, lutte contre la pauvreté et les vulnérabilités etc.
La croissance est à 6,9%, l’inflation autour de 5,5% , le PIB nominal estimé à 335 008 milliards de francs guinéens (36 milliards USD), le ration PIB/endettement retombé à 29%, le déficit budgétaire autour de 3% du PIB, les réserves de change à 3,6 milliards USD. Le premier train du projet Simandou a sifflé. Le programme Simandou 2040 est stabilisé. La Guinée a obtenu sa première notation souveraine inaugurale. Elle a accès aux marchés financiers des capitaux et désormais au guichet du fonds africain de développement (FAD) de la Banque Africaine de Développement (BAD). Deuxième économie francophone après la Côte d’Ivoire et quatrième de l’Afrique de l’Ouest derrière le Nigeria, le Ghana et la Côte d’Ivoire selon les dernières perspectives économiques mise à jour du FMI.
Si de telles performances ont été réalisées en période de crise et d’incertitude mondiale, elles laissent entrevoir notre capacité collective à faire encore mieux à la suite du retour à l’ordre constitutionnel. Nous n’avons pas un problème de ressources. Il faut continuer à renforcer la méthode, l’ordre, la discipline et l’offensive de charme économique pour un effet final recherché. A cet égard, le décollage, la transformation et la grandeur de notre pays ne peuvent plus être compromis.
Il se joue dans cette élection présidentielle, le destin de la Guinée. Autour du Président Mamadi DOUMBOUYA, rassemblons-nous, résistons, mobilisons-nous pour gouverner et BÂTIR ENSEMBLE.
.png)
il y a 2 heures
15


















English (US) ·