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Dans une ambiance solennelle et empreinte de patriotisme, le Ministre de la Culture, du Tourisme et de l’Artisanat, Moussa Moïse Sylla, a donné le coup d’envoi officiel du Recensement administratif à vocation d’état-civil dans la sous-préfecture de Farmoriah, à Forécariah, ce dimanche 4 mai 2025.
Cette cérémonie s’est tenue en présence du Préfet de Forécariah, des notables locaux, des représentants des forces de défense et de sécurité, des cadres de l’administration préfectorale, ainsi que d’une délégation du ministère venue soutenir l’élan national engagé par le gouvernement.
Prenant la parole devant une foule mobilisée, le ministre a exprimé toute l’importance de cette opération :
« C’est avec une immense fierté et un sens profond de responsabilité que je m’adresse à vous pour lancer ensemble une grande mobilisation citoyenne : le Recensement administratif à vocation d’état-civil », a-t-il expliqué.
Selon l’émissaire du Général Doumbouya, ce processus ambitieux vise à doter chaque Guinéenne et chaque Guinéen âgé de dix ans et plus d’un numéro d’identification personnel, unique et sécurisé, un outil fondamental pour garantir l’accès à l’identité légale et aux droits qui en découlent.
Le Ministre Sylla n’a pas manqué de rappeler l’engagement personnel du Chef de l’État, le Général Mamadi Doumbouya, qui a été le premier à se faire recenser. Plus encore, il a investi des ressources importantes issues de son budget de souveraineté pour permettre aux citoyens, notamment les plus vulnérables, d’acquérir les documents nécessaires, notamment la carte d’identité, préalable indispensable à l’enregistrement.
« Mon discours est un appel au réveil, à un sursaut patriotique », a insisté le ministre. À ses yeux, ce recensement n’est pas seulement une démarche administrative, mais un acte de foi en la nation, un pas décisif vers une gouvernance plus inclusive et une meilleure planification du développement.
Fidèle à la dynamique présidentielle, le gouvernement a déployé ses ministres dans les 33 préfectures du pays pour amplifier le message et renforcer la sensibilisation. À Pamelap, ce message a été entendu : les populations se disent prêtes à répondre massivement à l’appel.