Grosse inquiétude sur la CAN 2023 à quatre mois de la compétition

À seulement quatre mois de l’ouverture de la Coupe d’Afrique des Nations CAN 2023 en Côte d’Ivoire, une réelle inquiétude règne dans les enceintes sportives.

Il y a un peu plus d’un an, la Confédération africaine de football (CAF) a pris une décision forte concernant la Coupe d’Afrique des Nations 2023 ( CAN 2023 ) . Initialement prévue pour cet été, la compétition a été reportée au mois de janvier 2024. Officiellement, ce décalage a été justifié par les conditions météorologiques et la crainte de températures extrêmes ainsi que de fortes précipitations en Côte d’Ivoire. Cependant, en parallèle, des doutes ont également entouré les infrastructures de la compétition, et un an plus tard, les dernières informations ne sont guère rassurantes.

Les dernières tendances au sujet des structures de la compétition ne sont pas particulièrement rassurantes. Malgré les raisons officiellement évoquées pour le report de la CAN 2023, des préoccupations persistent quant à la préparation des installations sportives. Des interrogations subsistent quant à la capacité des infrastructures à être prêtes à temps et à répondre aux normes requises pour accueillir un événement de cette envergure.

Des pelouses pour la CAN 2023 pas du tout en bon état

En effet, la polémique s’est intensifiée après que la pelouse du stade olympique d’Ebimpé ait été inondée suite à de fortes pluies mardi soir, entraînant l’annulation du match entre la Côte d’Ivoire et le Mali. Cette situation a soulevé des questions quant à la capacité de la Côte d’Ivoire à accueillir la compétition dans des conditions optimales. Les doutes persistent quant à la capacité du pays à assurer les préparatifs nécessaires pour la Coupe d’Afrique des Nations. Les préoccupations sont d’autant plus vives étant donné que d’autres échos peu rassurants se font entendre. Le journaliste de la Gazette du Fennec, Yani Abdelli, a partagé des images préoccupantes montrant l’état de la pelouse du grand stade d’Abidjan. Ces images révèlent que l’état général des pelouses destinées à accueillir la CAN dans quatre mois ne serait pas du tout à la hauteur. Il y a donc de quoi s’inquiéter quant à la tenue de la compétition en janvier.

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