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Dans une Guinée en quête de renouveau et de cohésion nationale, chaque mot, chaque action compte. À Mamou, ville symbole de religiosité et d’ouverture, le Général Amara Camara, Ministre Secrétaire Général de la Présidence, a pris ses responsabilités. Lors de la grande marche de l’unité du 26 avril 2025, il a tenu un discours fort, à la fois rassembleur et exigeant, rompant avec les postures démagogiques pour rappeler aux Guinéens l’urgence de l’unité, de la morale et du travail. Mais, comme toujours, la vérité a ses ennemis : ceux qui prospèrent dans la division, la médiocrité et l’amnésie historique. Nous revenons ici sur cet événement majeur et sur un discours qui, sans nul doute, marquera une étape importante dans le combat pour une Guinée digne et prospère.
À Mamou, bastion de foi et de traditions, le Général Amara Camara a fait entendre une voix forte et sans détour : celle de la vérité et du devoir national. C’était le samedi 26 avril 2025, à l’occasion de la gigantesque marche de l’unité et du rassemblement organisée pour célébrer les acquis du Président de la République, Son Excellence le Général Mamadi Doumbouya.
Face à une foule compacte et vibrante, Amara Camara a délivré un message limpide : celui du Chef de l’État, déterminé à impulser une dynamique de développement tangible pour Mamou et pour toute la Guinée. Parmi les projets phares : la route Mamou-Faranah (185 km), le lancement d’initiatives de lutte contre le changement climatique, la pose de la première pierre du siège régional des Garages du Gouvernement, ainsi que l’inauguration du siège de la Compagnie Mobile d’Intervention et de Sécurité. Des réalisations concrètes, loin des promesses creuses auxquelles certains politiciens avaient habitué le pays.
Fidèle à sa réputation d’homme droit et sans compromission, le Général Amara Camara a rappelé une évidence qui dérange : sans unité nationale, sans discipline morale, aucun projet ne pourra libérer la Guinée de ses entraves.
Dans une ville réputée pour sa religiosité, il était juste et salutaire de rappeler que ceux qui prétendent guider le peuple doivent d’abord donner l’exemple, et non se vautrer dans des comportements honteux et dégradants.
Qu’a-t-il dit de si choquant ? Que la responsabilité impose de reconnaître ses fautes au lieu de chercher des échappatoires ridicules. Que le leadership impose de corriger ses erreurs plutôt que de se cacher derrière des arguments pathétiques.
Mais il n’en fallait pas plus pour que les habituels marchands de haine, professionnels de la victimisation à outrance, s’agitent et crient à la stigmatisation. Incapables d’assumer la vérité, incapables de se remettre en question, ils se sont rués sur les réseaux sociaux, érigeant leur médiocrité en étendard.
Or, comme le dit si bien la sagesse populaire : ce n’est pas le bâton qui pique, c’est la fourmi qui est piquée qui se débat. Ce que ces compatriotes refusent de voir, c’est que le discours du Général Amara Camara, loin d’être une attaque, était un appel : un appel au réveil, un appel à la dignité, un appel à un sursaut collectif. Un appel salutaire dans une ville comme Mamou, où les valeurs morales devraient être brandies en étendard.
Au lieu de s’indigner faussement, mieux vaudrait s’indigner contre l’obscénité et l’indécence qui ternissent l’image de notre pays.
Pendant que les trouble-fêtes se noyaient dans leur verbiage empoisonné, le Général Amara Camara, lui, traçait l’avenir : il rappelait que Mamou a un rôle clé à jouer dans la grande vision du Général Mamadi Doumbouya, Simandou 2040, programme stratégique pour une Guinée debout, souveraine et prospère.
Face aux éclats de ceux qui vivent du désordre et du mensonge, Amara Camara a opposé la force tranquille de la vérité. Ceux qui crient aujourd’hui sont ceux qui savent qu’ils seront balayés demain par la marche irréversible du progrès. L’histoire, elle, s’écrira avec les bâtisseurs, non avec ceux qui n’assument pas.
Et enfin, à ceux qui, par calcul, par orgueil ou par pure malhonnêteté, préfèrent salir un appel au sursaut plutôt que d’en saisir le sens, nous disons : votre agitation est la meilleure preuve que le message a touché juste. Quand on dénonce les tares, seuls les coupables crient au scandale.
Le Général Amara Camara a rappelé à Mamou, et à toute la Guinée, que l’heure n’est plus aux faux-semblants ni aux complaisances : elle est à l’unité, à la rigueur morale et à l’action.
Que cela plaise ou dérange, la marche vers une Guinée nouvelle est désormais une réalité.
Moussa Moïse Sylla