Djiba Diakité et la nouvelle gouvernance de Simandou : Un modèle de rigueur et de souveraineté

Le Projet Simandou incarne aujourd’hui l’un des leviers les plus stratégiques de la transformation économique de la Guinée. Longtemps marqué par des blocages et des incertitudes, ce projet d’exploitation du plus grand gisement de minerai de fer au monde a connu une relance décisive sous l’impulsion du Général Mamadi Doumbouya, Président de la République, dont la vision audacieuse a permis de remettre la Guinée au centre du jeu mondial dans le secteur minier. À la tête du comité stratégique chargé de piloter cette relance, le ministre directeur de cabinet de la Présidence, Djiba Diakité, s’est imposé comme un acteur clé de cette dynamique, conjuguant rigueur technique, sens du management et engagement patriotique pour garantir le succès du projet.

Dès l’arrivée du CNRD aux commandes du pays le 5 septembre 2021, il est apparu évident que la gestion de Simandou devait être profondément revue afin de mieux servir les intérêts de la Guinée. Sous les administrations précédentes, le projet était enlisé dans des négociations opaques, des conflits d’intérêts et des retards interminables. Le premier coup de force de la gouvernance actuelle a été d’imposer un cadre de gestion du projet plus rigoureux, fondé sur la transparence et la souveraineté nationale. La mise en place du Comité Stratégique de Suivi du Projet Simandou, avec le ministre Djiba Diakité à sa tête, a marqué ainsi un tournant décisif, traduisant la volonté des nouvelles autorités de faire de Simandou un moteur de croissance réel et durable.

Grâce à cette nouvelle approche, la Guinée est parvenue à rééquilibrer les rapports de force avec les partenaires internationaux impliqués dans le projet. Là où les précédentes négociations laissaient le pays dans une position de dépendance, le leadership du Général Mamadi Doumbouya et la technicité de Djiba Diakité ont permis d’imposer un cadre où les intérêts guinéens sont désormais au cœur des décisions. La renégociation des accords a notamment abouti à une plus grande implication de l’État dans la gestion des infrastructures minières, avec la création d’un consortium national garantissant un contrôle effectif sur les retombées économiques du projet. Aujourd’hui, la Guinée ne se contente plus d’être un simple fournisseur de matières premières ; elle pose les bases d’une industrialisation progressive qui permettra de maximiser la valeur ajoutée du minerai extrait.

Mais au-delà de l’exploitation minière proprement dite, c’est une transformation structurelle que porte le « Programme Simandou ». Conçu pour aller bien au-delà du cadre strictement minier, ce programme vise à diversifier l’économie nationale en s’appuyant sur les infrastructures créées autour du projet. L’une des avancées majeures sous la direction de Djiba Diakité réside dans l’intégration de Simandou à une vision de développement plus large, où les corridors économiques qui émergeront autour des voies ferrées et des ports en construction serviront de catalyseurs pour d’autres secteurs stratégiques, notamment l’agriculture, l’éducation et la culture, les finances et les banques, l’énergie et la logistique ainsi que les nouvelles technologies, entre autres. Cette vision à long terme assure que la Guinée ne se limite pas à exporter son fer brut, mais qu’elle utilise les ressources générées pour bâtir une économie plus diversifiée et plus résiliente.

Le sérieux et l’efficacité de la nouvelle gestion ont également permis d’attirer des investisseurs de premier plan et de restaurer la crédibilité du pays sur la scène internationale. Alors que certains observateurs s’inquiétaient par le passé du manque de visibilité du projet, la rigueur de la gouvernance actuelle et l’expertise de Djiba Diakité ont convaincu les acteurs majeurs du secteur que la Guinée était enfin prête à exploiter Simandou de manière optimale. L’implication d’experts financiers et de cabinets internationaux de renom témoigne de cette nouvelle ère de gestion maîtrisée, où chaque décision est prise dans l’intérêt du pays et non sous l’influence de pressions extérieures.

Il est légitime que des interrogations surgissent quant aux détails des accords conclus, mais force est de constater que ces critiques émanent souvent de ceux qui, hier encore, fermaient les yeux sur la gestion approximative et les intérêts étrangers privilégiés au détriment de la Guinée. Aujourd’hui, les choix opérés par le Général Mamadi Doumbouya et son équipe s’inscrivent dans une démarche claire : faire de Simandou un projet structurant qui bénéficie en priorité aux Guinéens. L’action à cet effet portée par Djiba Diakité s’inscrit dans cette logique, avec un engagement ferme en faveur de l’emploi local, de la formation des cadres nationaux et de la redistribution équitable des ressources issues de l’exploitation.

Loin des blocages et des lenteurs administratives du passé, le Projet Simandou — catalyseur du Programme Simandou 2040 — avance désormais à un rythme soutenu, propulsé par une volonté politique forte et une gestion rigoureuse. Si la Guinée est aujourd’hui reconnue comme un acteur incontournable dans le domaine du fer, c’est en grande partie grâce au leadership du Général Mamadi Doumbouya et à l’engagement sans faille de Djiba Diakité, dont le travail acharné a permis d’aligner les intérêts du pays avec les opportunités qu’offre ce projet stratégique. Avec Simandou, la Guinée ne se contente pas de rêver à son émergence ; elle la construit avec méthode, ambition et souveraineté.

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