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L’exploitation des mines de fer de Simandou a officiellement démarré le mardi 11 novembre 2025. Désormais, une question taraude les esprits : quel sort sera réservé aux nombreux employés qui ont contribué à la construction du projet, mais qui ne seront pas intégrés dans la phase d’exploitation ?
Interrogé par nos confrères de RFI, le ministre des Mines et de la Géologie, Bouna Sylla, s’est voulu rassurant. Selon lui, le comité stratégique du projet Simandou dispose d’une task force de mobilisation destinée à éviter que les 50 000 personnes ayant travaillé sur le chantier ne se retrouvent au chômage.
« C’est pour cela que nous œuvrons à créer de nouveaux projets dans le cadre du programme Simandou 2040. Dans le secteur minier, nous avons lancé en mars dernier un projet de raffinerie qui absorbera une partie de ces employés. D’ici la fin de l’année, nous lancerons également un nouveau projet de raffinerie de transformation de bauxite en alumine. Tous ces projets permettront de remobiliser les travailleurs démobilisés du projet Simandou, de leur offrir de nouvelles perspectives et, par conséquent, de contribuer à la réduction de la pauvreté dans le pays », a expliqué Bouna Sylla.
Sékou Diatéya
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il y a 1 heur
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