Un tel échec pour un candidat chancelier est sans précédent dans l'histoire politique de l'Allemagne d'après-guerre. Il illustre la fragilité du dirigeant démocrate-chrétien et de la coalition avec laquelle il entend gouverner la première économie européenne, aux côtés des sociaux-démocrates, sous pression d'une extrême droite en plein essor.