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Depuis le 7 décembre 1987, l’assemblée générale des Nations-Unies, a institué le 26 juin de chaque année, comme journée internationale contre l’abus et le trafic des drogues.
Il s’agit d’une initiative qui vise à renforcer les actions et la coopération internationale, afin que les sociétés puissent se départir de l’abus des drogues.
Selon le coordinateur du SAJED, service d’aide aux jeunes en situation difficile par la drogue, cette année, les Nations-Unies ont invité les États à œuvrer pour l’assistance et la protection des personnes plongées, dans la consommation de la drogue.
« Cette année, le thème c’est soutenez, ne punissez pas! Cela veut dire que les actions orientées doivent être vraiment à l’endroit de ces sujets déjà trempés, dans la consommation de la drogue. Donc, la santé publique doit être une priorité pour ces personnes, parce qu’elles sont victimes de trouble bipolaire. Il faut des actions phares pour les accompagner. », a-t-il précisé d’entrée, ce mercredi 26 juin 2024, au micro de Mosaiqueguinee.com.
Pour cet activiste, les consommateurs de drogue ne doivent nullement être victimes de traitements inhumains, ou encore moins faire l’objet d’instrumentalisation.
« Ils doivent être traités de manière convenable au respect des droits de l’homme. Vous les voyez parfois menottés, ça ne se doit pas.Tous les efforts doivent être déployés à leur endroit, pour leur permettre d’être utiles à la société. », poursuit-il avant d’inviter les parents à soutenir leurs enfants, en vue de les sortir de cette dépendance.
« Ces gens sont parfois abandonnés par leurs familles. Nous en tant que responsables des organisations de la société civile qui avons un centre de désintoxication, nous interpellons les parents pour leur faire comprendre que ces personnes ne sont pas à rejeter encore moins à abandonner. Par contre, elles doivent être accompagnées. », a-t-il invité.
Hadja Kadé Barry