Des féministes sud-coréennes ont mis à jour l’existence de "salles d’humiliation" sur Telegram : dans ces groupes créés sur cette messagerie cryptée, des hommes, pour la plupart très jeunes, s’échangent des images à caractères sexuel de leurs proches, volées et modifiées avec des IA. Nos Observatrices qui ont participé à la dénonciation de ce réseau, voient dans cette affaire un énième exemple de la profonde misogynie qui affecte la société coréenne.