En France, les députés ont voté la suppression des zones à faibles émissions, ces espaces qui restreignent la circulation des véhicules les plus polluants dans les agglomérations de plus de 150 000 habitants. Une mesure jugée socialement injuste, pourtant efficace sur la qualité de l'air et sur la santé, alors que la pollution atmosphérique est responsable de 40 000 décès prématurés chaque année.