En annonçant, dimanche, régler la dette syrienne auprès de la Banque mondiale, l’Arabie saoudite et le Qatar offrent à la Syrie, ruinée par 14 ans de guerre, une bouffée d’oxygène. Mais derrière ce geste, Riyad avance ses pions dans la nouvelle Syrie, s’affirmant dans un Moyen-Orient en pleine recomposition. Décryptage.