En Guinée, la caution exigée pour la candidature à la présidentielle suscite de vives réactions. Fixée à 900 millions de francs guinéens, cette somme est jugée exorbitante par plusieurs acteurs politiques. Ils y voient un frein à la participation démocratique. Pendant ce temps, les partisans du chef de la transition, Mamadi Doumbouya, s’organisent pour réunir les fonds. Explications de Malick Diakité, correspondant France 24 en Guinée