Les principaux leaders de la gauche ont appelé à l'union pour les législatives anticipées (30 juin et 7 juillet) provoquées par la dissolution de l'Assemblée nationale, à l'exception de Jean-Luc Mélenchon qui n'imagine pas mener campagne sur un autre programme que le sien. Les discussions s'annoncent compliquées, d'autant qu'avec seulement trois semaines de campagne avant le premier tour, il y a urgence.