Dernier épisode d'une vive polémique en Italie. Le gouvernement italien a imputé mercredi à un mandat d'arrêt mal rédigé de la Cour pénale internationale (CPI) la responsabilité de la libération d'Osama Almasri Najim, chef de la police judiciaire libyenne recherché pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité.