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C’est une vague d’espoir qui déferle sur les communautés côtières de Guinée ! La Banque mondiale, en mode super sponsor du développement durable, vient de débloquer un méga financement de 100 millions de dollars pour un ambitieux projet baptisé “Kounki”, entièrement dédié à la pêche et à l’aquaculture.
Et ce n’est pas tout : l’Agence française de Développement et le fonds PROBLUE ont également mis la main à la poche, pour un montant total qui grimpe à près de 132 millions de dollars. De quoi faire saliver plus d’un secteur en quête de modernisation !
Un projet qui nage dans les bonnes intentions…
Objectif du Projet de pêche et d’aquaculture de Kounki ? Rien de moins que :
- Renforcer la résilience climatique des communautés côtières,
- Créer plus d’emplois durables dans le secteur,
- Améliorer les infrastructures contre les risques de catastrophe,
- Promouvoir des pratiques éco-intelligentes,
- Et booster l’accès au financement pour les petites entreprises du domaine.
En clair : aider les pêcheurs et les aquaculteurs guinéens à garder la tête hors de l’eau, malgré les tempêtes climatiques et économiques.
Les principaux acteurs s’expriment !
Issa Diaw, représentant de la Banque mondiale pour la Guinée, ne cache pas son enthousiasme :
« Nous posons les bases d’une croissance durable et d’une sécurité alimentaire renforcée. Le projet Kounki est une réponse concrète aux défis du changement climatique. »
Même son de cloche du côté du gouvernement guinéen. Fatima Camara, ministre des Pêches et de l’Économie maritime, voit dans ce projet un “tournant stratégique” :
« C’est une opportunité historique pour transformer le secteur, protéger nos ressources et faire des pêches un véritable moteur de développement. »
Pourquoi ça change tout ?
Avec la stratégie nationale “Simandou 2040” et la Stratégie Halieutique 2022-2027 en ligne de mire, Kounki s’annonce comme un vrai levier pour :
- Réformer la gouvernance des pêches,
- Développer les chaînes de valeur locales,
- Et attirer les investisseurs privés vers une pêche plus verte, plus rentable et plus inclusive.
Et maintenant ?
Les regards sont tournés vers les ports, les villages de pêcheurs et les fermes aquacoles de Guinée. Le pari est lancé : faire du poisson, de l’innovation et de la résilience climatique, les nouveaux trésors de l’économie bleue guinéenne.