Pour la quatrième fois depuis le 7 octobre, le chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, a pris la parole vendredi. Il a assuré qu'une riposte contre la frappe, imputée à Israël, qui a tué le numéro deux du Hamas, Saleh al-Arouri, dans la banlieue sud de Beyrouth est "inéluctable".