Guinée-Algérie : après l’élimination, la toile se moque du Syli (buzz)

il y a 2 heures 13
PLACEZ VOS PRODUITS ICI

CONTACTEZ [email protected]

Alors qu’une victoire était impérative pour continuer l’aventure, le Syli local quitte prématurément le Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2025. Face aux Fennecs d’Algérie, la Guinée n’a pu faire mieux qu’un match nul (1-1), cet après-midi, un résultat insuffisant pour espérer la qualification.

L’ouverture du score par Ismaël Camara à la 88e minute avait pourtant fait naître l’espoir, mais les Algériens ont arraché l’égalisation dans les derniers instants, scellant ainsi le sort des Guinéens.

Sur les réseaux sociaux, la déception et la colère se sont rapidement exprimées.
« Je ne sais pas si c’est une malédiction. Jusqu’à la 88e minute vous gagnez, et après… ils égalisent », fulmine un internaute se présentant sous le nom d’Aly Persévérant.

Pour King Ablo, la prestation est tout simplement indéfendable : « Sily National, son papa, sa maman, ses ancêtres… tout le monde est nul ! »

Même constat pour Sidy Bah : « Supporter le Syli, il faut vraiment avoir du cardio. C’était prévisible. Rien de nouveau. »

D’autres appellent à plus de respect pour le maillot national. « Représenter son pays dans une compétition, c’est une fierté. Quand on porte les couleurs, on doit se battre jusqu’au bout », rappelle Ibrahima Diallo.

Un sentiment partagé par Marouane Fofana : « Nous y avons cru, nous avons vibré… et pourtant tout s’arrête ici. Ce nul sonne comme une défaite. Merci aux joueurs pour leurs efforts, mais quel crève-cœur. »

Pour certains, c’est toute la structure du football guinéen qui doit être remise en question. « Guinée n’a qu’à arrêter le football. Il n’y a rien dans lequel on est les meilleurs », lâche Alpha Amar Baldé, visiblement excédé.

Plus nuancé, Almamy Soumah plaide pour une réforme profonde : « Il faut revoir la vivacité, la condition physique, la concentration. On joue pour vendre nos talents, pas pour impressionner le public. »

Même dans la critique, certains restent attachés au Syli. Condé Lancei, tout en pointant « zéro agressivité, zéro pressing, une défense livrée à elle-même », conclut malgré tout : « Syli, je t’aime malgré tout. »

Lire l'article en entier