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La grève déclenchée par la fédération syndicale des professionnels de l’éducation (FSPE) et le syndicat national de l’éducation (SNE) est entrée dans sa deuxième semaine ce lundi 8 décembre 2025.
Ces deux structures, qui rejettent le protocole d’accord signé la semaine dernière entre le Gouvernement et le SLECG, exigent des mesures concrètes avant toute suspension de leur mot d’ordre.
Dans la matinée de ce lundi, 8 décembre 2025, des échauffourées ont été signalées dans plusieurs écoles publiques des communes de Ratoma et de Matoto.
Au lycée Léopold Sédar Senghor de Yimbaya, des incidents ont éclaté tôt le matin, mais n’ont duré que quelques instants. Des agents de la police nationale sont rapidement intervenus pour disperser les fauteurs de troubles.
Au lycée Bi-Kaba de Petit Simbaya, des élèves se sont également livrés à des jets de pierres et à l’érection de barricades sur la chaussée. La même scène a été observée sur la nouvelle route menant à l’école primaire Simbaya 2.
Sur leur passage, ces groupes d’élèves tentent d’empêcher la tenue normale des cours dans certains établissements qui fonctionnent encore malgré la grève.
Interrogés par notre reporter, plusieurs d’entre eux affirment qu’ils ne peuvent « pas rester sans étudier depuis plus d’une semaine, alors que d’autres écoles continuent de fonctionner normalement ».
Au lycée Senghor, comme à l’école primaire de Simbaya 2 et jusqu’au rond-point de Cosa, des agents de la police nationale et de la gendarmerie ont été déployés pour contenir ces troubles à l’ordre public.
Ces tensions traduisent l’exaspération d’une partie des élèves face à la crise qui secoue l’école guinéenne depuis plusieurs semaines.
Mosaiqueguinee.com
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