Enquête sur la disqualification des équipes du Syli : où en est-on aujourd’hui ? selon Ben Daouda Nansoko

il y a 3 heures 18
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Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Kéamou Bogola Haba, a mis en place, le 12 novembre dernier, une commission chargée de mener des enquêtes sur la disqualification des équipes nationales de football U-17 en 2019 et 2024 à l’occasion des tournois zonaux qualificatifs de l’UFOA.  Deux semaines après la mise en place de ladite commission composée de 14 membres, qu’a-t-elle fait à date ?

La rédaction de Guineenews a interrogé ce lundi 25 novembre 2024, Ben Daouda Nansoko, président de ladite équipe.

Selon notre interlocuteur, à date, aucun contact n’est pris avec la Fédération Guinéenne de Football pour faire bouger les choses. Mais un courrier leur a été adressé et des réunions préliminaires ont été tenues entre les membres de la Commission.

« Nous sommes sur les premières réunions. On a fait un programme : d’abord on prend contact avec la fédération parce que tous les organes qui sont intéressés par ce problème soit, sont en collaboration avec la Fédération, soit, ou relèvent de la Fédération. Là où nous sommes, on a adressé une correspondance.

On n’a pas encore pris encore contact avec la Fédération à plus forte raison des autres organes indépendants avec lesquels ils ont à faire c’est-à-dire, là où ils font des examens et tout. Donc, on est au début, nous sommes en train de nous concerter et de voir des stratégies par lesquelles nous devons passer pour atteindre l’objectif », a-t-il expliqué.

Comme délai, c’est un mois c’est-à-dire, trente jours ouvrables qui avaient été donnés à cette équipe d’enquêteurs pour apporter la lumière sur cette affaire. Selon Ben Daouda Nansoko, son équipe espère terminer avant ou après le délai requis.

« Nous avons 30 jours ouvrables. On peut ajouter 8 jours sur ces 30 jours par exemple. Nous pensons finir même au bout de ce délai. Mais on ne peut rien déterminer pour le moment. Si le terrain nous permet de le finir et que les interlocuteurs nous facilitent la tâche, parce que ce n’est pas un travail aisé, ni une mission facile », a-t-il conclu.

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