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Après un mois de suspense, surprises, rebondissements, angoisses, la CAN 2023 disputée du 13 janvier au 11 février 2024 en Côte d’Ivoire a rendu son verdict, ce dimanche 11 février 2024 au stade Ebimpé à Anyama du Président d’Alassane Ouattara, avec le triomphe des Éléphants et d’un vrai visionnaire.
Ressuscités miraculeusement et propulsés dans la compétition grâce au succès des Lions de l’Atlas face aux Zambiens, les « Éléphants » Ivoiriens, contre toute attente, réalisent un parcours miraculeux, s’imposent en finale face aux « Super Eagles » et inscrivent la 3ème étoile sur le maillot Orange en remportant la troisième Coupe d’Afrique de leur histoire. Qui aurait pu prédire, au soir de la fin de la phase de poules, que la Côte d’Ivoire allait remporter la CAN 2024 ? Sans doute pas grand monde, sauf probablement le Président Ouattara tant les Éléphants sont passés proches de l’élimination dès le début de la compétition. Mais, quel parcours depuis ! Éliminant, les uns après les autres, les Lions du Sénégal, champions en titre, les Aigles du Mali, les Léopards du Congo, ils ont, à l’issue d’une finale renversante, à l’image de leur parcours, soulevé la Coupe d’Afrique des Nations, ce dimanche, à domicile, après avoir dominé le Nigeria dans tous les compartiments du jeu et au score (2-1). Tout aura été pourtant compliqué pour les hôtes de la compétition. Y compris dans cette finale. Malgré un début de rencontre à l’avantage des Ivoiriens, le Nigeria a refroidi le stade olympique. Sur un corner, peu avant la pause, le capitaine des « Super Eagles » William Troost-Ekong a placé sa tête et mis son pays sur la voie du succès (0-1, 38′). Haller, héros miraculé À force de dominer, les Éléphants sont revenus. D’abord grâce à Franck Kessié, sur une action similaire au but encaissé. Sur un corner, l’ancien milieu de l’AC Milan a pris le dessus sur la défense nigériane et remis les deux équipes à égalité (1-1, 63′). Puis, alors que la prolongation approchait, Sébastien Haller est devenu le héros de la soirée. L’avant-centre, guéri d’un cancer il y a un an à peine, a offert, du bout du pied droit, le sacre à tout un peuple (2-1, 81′). Une finale à l’image d’un parcours plus que sinueux. Car si les anciens poulains du coach Français, Jean-Louis Gasset avaient démarré la compétition par une victoire contre la Guinée-Bissau (2-0), ils s’étaient pris les pieds dans le tapis face au Nigeria (0-1), et surtout la Guinée-Équatoriale (4-0) avant d’être repris et formatés par Emerse Faé qui rentre ainsi dans l’histoire de manière destinale.
En éliminant, tour à tour, le Sénégal aux tirs au but (1-1), le Mali (2-1) et la RD Congo (1-0), et en finissant en apothéose, ce dimanche, contre le Nigeria (2-1), les Éléphants soulèvent pour la troisième fois de leur histoire la Coupe d’Afrique des nations, après les succès de 1992 à Dakar au Sénégal et 2015 à Bata en Guinée Équatoriale. Cette victoire souhaitée au-delà des frontières ivoiriennes, est aussi et surtout celle de la vision d’un vrai Homme d’États, le Président Alassane Ouattara en l’occurrence.
Après les parenthèses plus ou moins longues ratées du Président Henri Konan Bédié, Général Robert Gueî, et Président Laurent Gbagbo, la Côte d’Ivoire a pu, avec l’ancien Directeur Général adjoint du FMI, rattraper son rendez-vous avec l’histoire avec ce Président qu’il lui fallait pour poursuivre et amplifier l’esprit et les œuvres de son Père fondateur, le Président Félix Houphouet Boigny. En moins de 15 ans, cet Homme d’État rigoureux, sérieux, travailleur a réussi à faire de la Côte d’Ivoire un pays respectable. Tous les Africains et non Africains qui ont fait le déplacement de la Côte d’Ivoire ont reconnu la grandeur de ce Président en découvrant les colossaux investissements qui ont transformé totalement et aimablement le visage d’un pays après des années de guerre civile. On comprend, dès lors, tout le sens du choix porté sur le Gouverneur de la BCEAO en 1990 pour la Primature afin de redresser l’économie Ivoirienne par le Président Houphouët Boigny rongé par une irréversible maladie.
Avec une population accueillante, ouverte, voyant les Algériens, Marocains, Maliens, Sénégalais, Guinéens, Français, Asiatiques ce dimanche à l’affût des maillots Ivoiriens pour leurs enfants et eux-mêmes, j’ai compris que DIEU exigeait que cette Coupe reste en Côte d’Ivoire tant le Président Alassane Ouattara est une de ses créatures bénies. La Côte d’Ivoire, rien qu’à cause de lui, mérite de garder le Trophée 🏆 de la CAN de l’hospitalité où jusqu’à la fin on a d’abord laissé l’adversaire marqué après avoir laissé tout le monde se qualifier d’abord avant de ressusciter les hôtes exceptionnels de la meilleure CAN jamais organisée.
Félicitations aux Éléphants
Merci au Président Alassane Ouattara, l’un des meilleurs dirigeants du monde, probablement, le meilleur Footballeur du Continent jusqu’à preuve du contraire.
Avec ce sacre, j’ai une pensée émue pour mon frère Mamadi Diané qui m’a permis, en 1999, en marge des Assemblées Générales Banque mondiale/FMI, de rencontrer le Président Alassane Ouattara à Washington et d’échanger le DGA du FMI qu’il était.
Depuis, j’ai eu la conviction que celui qui a fait du Président Sidya Touré son Directeur de Cabinet était le Président qu’il fallait pour la Côte d’Ivoire aussi longtemps que possible. Sans doute, le Président Alassane Ouattara fait partie des dirigeants mondiaux dont les noms ne disparaissent jamais à cause des œuvres immortelles
Abdoulaye Condé