Les partisans du maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu, figure de l'opposition turque, arrêté mercredi pour "corruption" et "terrorisme", se mobilisent de nouveau jeudi pour dénoncer ce qu'ils qualifient de "coup d'Etat". Les explications de Dorothée Schmid, chercheuse à l'IFRI, responsable du programme Turquie contemporaine.