Malgré la rudesse de bientôt deux ans d'austérité budgétaire, une menace de crise financière, un style personnel clivant, les Argentins ont donné au président ultralibéral Javier Milei un soutien électoral sans appel pour poursuivre ses réformes. Explications de Florence Pinot de Villechenon, professeure émérite à ESCP Business School