Viol suivi de grossesse : un père de famille condamné à 7 ans de prison ferme

il y a 7 mois 92
PLACEZ VOS PRODUITS ICI

CONTACTEZ [email protected]

Le tribunal de première instance de Mafanco a condamné ce mardi 24 avril, un chauffeur âgé de 42 ans  pour le viol suivi de grossesse sur une mineure âgé de 12 ans à l’époque des faits.

Mohamed Soumah, c’est son nom, a écopé de sept ans de réclusion criminelle.
À la barre, il a reconnu les faits. Selon lui, la victime était sa petite amie. « Je suis voisine avec elle.  C’est vrai qu’elle est de petite taille, mais en la voyant je lui donnerai 16 ans. Quatre moi après notre rencontre, elle m’a informé qu’elle ne se sent pas bien qu’elle est malade. J’ai demandé de quoi souffre t-elle. Elle m’a dit qu’elle avait des retards de menstruation. Je lui ai dit que c’était rien ; ça arrive. Sauf qu’une semaine après notre échanges, son père qui est aveugle et qui est également mon grand, est venu me chercher avec la police pour m’arrêter.
Mais elle n’était en aucun cas vierge quand j’ai été avec elle. Sinon, je ne l’aurai jamais touché « , a-t-il expliqué.
Après ces explications, le représentant du ministère public a déclaré qu’il était grave et dangereux qu’une fille de 12 ans soit à la merci d’un gaillard de 42 ans.  » C’est grave et regrettable que nos sœur et fille ne soient plus en sécurité avec ces individus en liberté.  Et nous, nous sommes là pour régler ces problèmes. Il parle d’une histoire d’amour. Pour une mineure,  on ne parle pas de consentement. En plus de cela, il a entretenu des relations sexuelles avec elle partout où l’envie lui prenait. Tant tôt dans les maquis, tantôt dans la forêt, n’importe où.  Il est assez vieux pour manipuler cette fillette à sa guise. C’est pourquoi je requiers qu’il soit reconnu coupable pour ces manœuvre intime en le condamnant à 10 ans de réclusion criminelle « , a requis le procureur.

Pour sa part, la défense, plaidant coupable, a demandé la clémence du tribunal. Mettant surtout en avant le comportement coopératif de son client avec la justice. Mais cette plaidoirie n’empêchera pas la condamnation de son client.

Lire l'article en entier