Transition/Ousmane Gaoual s’en prend aux détracteurs : « Il n’y a qu’une simple volonté, celle de peindre en noir la marche glorieuse de notre patrie »

il y a 2 mois 153
PLACEZ VOS PRODUITS ICI

CONTACTEZ [email protected]

Le porte-parole du gouvernement a animé une conférence de presse ce jeudi 25 juillet à Conakry.

L’objectif principal était de répondre aux nombreuses critiques dont les autorités font l’objet par rapport à la conduite de la transition. Ousmane estime que c’est une campagne de discrédit sans fondement.

« Depuis quelques jours, notre pays fait l’objet d’une campagne de discrédit sauvage et qui est de nature à diaboliser le processus de transition en cours. À entendre les promoteurs de cela, on pourrait croire que notre pays est à feu et à sang, alors que rien n’en est. C’est à la fois quelque chose de dommageable et de regrettable », a-t-il dénoncé.

Pour le ministre des transports, tout porte à croire qu’il n’y a pas d’autres sujets de débat dans le pays. « Il n’y a qu’une simple volonté, celle de peindre en noir la marche glorieuse de notre patrie à la recherche du bien-être pour tous », a fulminé Gaoual.

Le porte-parole du gouvernement parle des promoteurs de la campagne sans indexer ces personnes. Cependant, affirme-t-il, ils sont dans le pays et en dehors. Le ministre des transports assure que le gouvernement s’emploie et s’emploiera à garantir le bien-être et le vivre-ensemble pour toutes les filles et tous les fils de Guinée.

« La propagande et les propos irrévérencieux, quels que soient l’auteur et l’origine ne viendront pas dérouter la transition de ces trois objectifs majeurs. Le social, pour rétablir le vivre-ensemble dans notre pays. L’économie, pour amorcer le processus de développement durable afin d’assurer le bien-être pour tous et la politique, enfin, pour bâtir un état de droit à travers la mise en place d’institutions fortes et crédibles avec la justice comme boussole pour tous nos concitoyens. Pendant ce temps, des grands projets structurants sortent de terre partout dans notre pays », a-t-il soutenu.

Lire l'article en entier