Rescapée d'une tentative d'empoisonnement, et d'une tentative d'assassinat par un commando tchétchène, la journaliste russe Elena Kostyuchenko reste, malgré les menaces qui pèsent sur elle, une dissidente assumée de la Russie. Un combat qu'elle raconte dans son premier livre, "J'aime la Russie", écrit lors de son exil à l'étranger.