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Le brevet d’études du premier cycle (BEPC) session 2024 a été lancé ce vendredi 14 juin, sur toute l’étendue du territoire national. Dans la commune de Matoto, c’est le ministre de la jeunesse et des sports Keamou Bogola Haba, accompagné de son homologue Fatima Camara, ministre de la pêche et de l’économie maritime, qui a procédé au lancement des premières épreuves au collège moderne de Dabompa devant les autorités communales et éducatives.
Selon Sékou Kaba, ils sont au total 24.200 candidats répartis dans 50 centres à affronter cet examen d’entrée en 11ème année.
«les statistiques du brevet d’études du premier cycle session 2024 se présentent comme suit: à l’enseignement général 23.346 candidats dont 11.748 filles. À l’enseignement Franco-Arabe on a 572 candidats dont 158 filles. Le taux on a 24.200 candidats répartis dans 50 centres dont deux (2) en enseignement Franco-Arabe», a fait savoir le Directeur Communal de l’éducation de Matoto.
Prenant part à cette cérémonie, Elhadj Docteur Moudjour Chérif, président de la délégation spéciale de la commune urbaine de Tombolia a rassuré que tout a été mis en place pour le bon déroulement de cet examen.
«L’évaluation le cadrage est déjà très bien fait par le gouvernement, nous avons des encadreurs dans ce centre, il y a un président du centre, il y a un vice-président et l’encadrement est composé des professionnels et nous avons trouvé des élèves qui sont sereins. Et l’inspection régionale de l’éducation a lancé un message qui se respecte, parce que l’inspection a dit moins de stresse, plus de rigueur. Nous avons constaté que dans ce centre ceci est prévaut effectivement», a-t-il dit.
Pour sa part, le ministre de la jeunesse et des sports a mentionné que c’est sur la règle de la tolérance zéro que cette évaluation a été lancée.
« Jecrois que ce n’est pas la première année, nous avons déjà la tolérance zéro a été la règle depuis que le CNRD est au pouvoir, et je pense que tout le monde a pris conscience parce que c’est se tromper soi-même vouloir tricher. Si les enfants apprennent à tricher ils vont tricher dans l’administration publique, ils vont tricher dans tout ce qu’ils vont faire. Et je crois que pour moi les enseignants, les surveillants et l’encadrement sont confiants, nous les avons encouragé à la rigueur et surtout à ne pas effrayer les enfants», a laissé Keamou Bogola Haba.
Pour cette première journée, les candidats seront soumis aux épreuves de la Rédaction et de l’Histoire.
Naby Moussa