Au Burkina Faso, le président de la transition Ibrahim Traoré a tenu un discours "aux forces vives" du pays venues de tout le territoire pour l'acclamer. C'est la première intervention de cette ampleur depuis les rumeurs de coup d'état du mois de juin. Il en a profité pour pointer du doigt la Côte d'Ivoire et le Bénin, qu'il accuse de vouloir "déstabiliser" le Burkina.