L'accord franco-algérien de 1968 sur l'immigration, qui confère un statut particulier aux Algériens dont il régit les conditions de circulation, de séjour et d'emploi en France, est remis en cause par la droite, qui a mis sa "dénonciation" à l'ordre du jour parlementaire jeudi. La Première ministre Élisabeth Borne a réaffirmé mercredi qu'une renégociation de cet accord avec le gouvernement algérien était à "l'ordre du jour".