Alors que les bombardements ont repris ce vendredi 1er décembre, au sud de Gaza, les déplacés sont dans une situation de précarité extrême. Ils ont dû se construire des abris de fortune, et craignent l'arrivée de l'hiver. Alors que l'aide humanitaire entre au compte-goutte, ils font face à la raréfaction des ressources, ce qui favorise le marché noir où tout se revend bien plus cher que le prix initial, à commencer par l'eau.