Le président du Modem, François Bayrou, a été relaxé lundi "au bénéfice du doute" par le tribunal correctionnel de Paris dans l'affaire des assistants parlementaires européens. Cette décision éclaircit l'horizon politique du triple candidat à la présidentielle. Huit autres prévenus, dont cinq ex-eurodéputés, ont en revanche été condamnés à des peines allant du sursis à des amendes de plusieurs milliers d'euros.