La Cour de cassation a définitivement confirmé mardi la mise en examen pour complicité de crimes contre l'humanité du cimentier français Lafarge, qui a maintenu une cimenterie en Syrie jusqu'en 2014 malgré la présence de jihadistes. Les poursuites pour mise en danger de la vie d'autrui, ont été annulées, la loi française n'étant "pas applicable" aux salariés syriens.