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Après plus de quinze heures de négociations intenses, rythmées par des suspensions, les discussions autour du mémorandum de l’Intersyndicale de l’Éducation, portant notamment sur la signature du statut particulier révisé, devraient porter fruits dans les heures qui suivent.
Ces pourparlers se déroulent toutefois en l’absence des autres structures de l’Intersyndicale, la FSPE et le SNE qui ont opté pour la grève suite à l’échec des négociations précédentes. Le SNAESURS, lui s’est tout simplement retiré.
Depuis lundi à 15 heures, la délégation du SLECG, composée d’Aboubacar Soumah, Kadiatou Bah, Moustapha Soumah et Mohamed Bangoura « Roméo », et la partie gouvernementale renforcée par trois ministres et des techniciens des départements stratégiques notamment le Budget et l’Économie et des Finances, ont passé au peigne fin les propositions du syndicat.
Selon une source syndicale, c’est seulement ce matin que les parties ont entamé la rédaction d’un protocole d’accord de principe, avec la facilitation du président du Conseil National du Dialogue Social (CNDS).
Les discussions, qui avaient été suspendues pour permettre à la partie gouvernementale de parvenir à un même niveau de compréhension avant de procéder à la signature du protocole, viennent de reprendre dans la salle de réunion de la Fonction Publique.
Selon une autre source, le gouvernement serait déterminé à ne plus discuter avec le camp des frondeurs, notamment la FSPE et le SNE qui ont, selon lui, boycotté les négociations au profit de la grève.
Reste donc à savoir si cette signature en vue, entre les deux parties (SLECG-Gouvernement), permettra de désamorcer la crise qui secoue le secteur de l’éducation depuis 24 heures malgré l’absence des syndicats à l’origine de la grève.
À suivre !
Alhassane Fofana
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il y a 1 heur
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